« Tout le monde en veut à tout le monde les jeunes aux vieux, les vieux aux jeunes, les salariés aux chômeurs, les pauvres aux plus pauvres, les écolos aux agriculteurs, le voisin au chien d’à côté, le client au marchand, le végan au mangeur de viande, le cycliste au piéton, et cette liste des intolérances n’est pas limitative. Notre pays est en crises au pluriel : c’est visible. La dernière flambée en est un symptôme désespérant. »